TOURNEMINE (le P.), savant jésuite, né à Rennes en 1661, m. en 1739, professa avec éclat les humanités, la philosophie et la théologie, et dirigea le Journal de Trévoux de 1702 à 1736. Outre une foule de Dissertations et Analyses, insérées dans ce journal, et remarquables par l'impartialité de la critique, il a publié des Tables chronologiques (dans la Bible de Duhamel, 1706), des Réflexions sur l'athéisme (à la suite du Traité de l'existence de Dieu par Fénelon), et une bonne édition des Commentaires de Ménochius sur l'Écriture sainte, 1719. Il entretenait correspondance avec un grand nombre de savants, et sut une vive discussion avec Leibnitz sur l'origine des Francs, dont il faisait une colonie de Gaulois. Or, à Montpellier, qui dépendait également du roi d’Aragon, à Avignon et à Marseille, il y avait une telle activité scientifique parmi les Juifs qu’un savant du XIIIe siècle a pu écrire : « Il n’y a rien, en fait de mathématiques, qui n’ait été traduit en hébreu. Il faudra, en 1382, l’intervention personnelle du roi d’Aragon pour faire lever cette mise à l’index. Au moment même où leur rabbin, Ysaac Nafuci, construisait pour le roi d’Aragon des astrolabes « bons et fins, » ces deux savants, « maîtres des mappemondes et des boussoles » du Roi, fabriquaient des cartes si parfaites que l’infant Jean s’écriait enthousiasmé : « Je n’en ai jamais vu de si belles
8, 1806-1813, suivis d'un Supplément, 9 vol., 1819-1837); il consacra trente ans à cette pénible tâche : aussi son ouvrage est-il le manuel indispensable de tout numismate. Le Rhône & toutes les rivières qui se jettent dans son sein ont des cours rapides, impétueux, précipités : tels sont ceux de la rivière d’Ain, de l’Isère, de la Drome, de la Durance, du Gardon, &c. Draps, cuirs, chapeaux. - Minsk a fait jadis partie de la principauté de Polotsk, puis de celle de Smolensk; cette ville était, dans l'anc. Cette île et la Petite Miquelon (au S. de la première) forment, avec l'île St-Pierre, une colonie soumise à un seul commandant. À cette époque, personne ne se doutait encore des travaux mystérieux du hangar ; le portail de la petite cour était condamné depuis plusieurs années, et l’on ne pouvait arriver à l’appentis que par le bûcher, sur les derrières, en longeant un couloir tortueux et sombre, formé de palissades, obstrué de débris et de vieilleries
Ils constatèrent des glandes cancéreuses aux intestins. Prendre un auteur dramatique de talent, lui donner une situation administrative qui occupe toutes ses heures et ne lui laisse plus le loisir de travailler, c’est ce qu’en France on appelle protéger les lettres, Hippolyte Romand est mort obscur, ayant rendu peu de services à l’établissement qu’il était condamné à diriger. La France s’empara de ses États en 1703 ; mais il les recouvra en 1736. Il avait épousé en 1695 une princesse de Brunswick, issue comme lui de la famille d’Este, et parce mariage il réunit les deux branches de cette maison, séparées depuis le XIe siècle. Merci pour cette article rafraîchissant à ambiance forestière. « Le fait pour un fournisseur d’accorder ou pour un acheteur de solliciter une remise, un rabais ou une ristourne en méconnaissance des dispositions du premier alinéa du présent article engage la responsabilité de son auteur et l’oblige à réparer le préjudice causé. Ce principe n’est peut-être pas aussi absolu qu’il le dit, lorsqu’il ajoute : « On est parvenu à faire germer des tubercules dans une atmosphère humide, à la lumière, mais sans qu’il se produise des tubercules nouveaux ; si au contraire on les conserve dans l’obscurité, il se produit alors des tubercules, sans même qu’il existe une tige verte et des feuilles
Le père et le fils, Abraham et Jaffuda, travaillaient à ce moment-là à de nouvelles mappemondes, dont l’une était destinée au roi de France Charles VI. Parmi les acquéreurs de ce genre d’ouvrages, figuraient deux Juifs, le père et le fils, qui allaient donner à la cartographie majorquine un éclat incomparable : Abraham et Jaffuda Cresques. Quoi qu’on puisse penser de cet empire, les Juifs pullulaient au Moyen âge dans les oasis : à Touggourt ; à Ouargla ; dans le Tafilelt ; dans le Touat, où de nouveaux venus lurent sur des pierres tombales qu’ils avaient été précédés par des coreligionnaires, l’an 4429 d’Adam, au VIIe siècle de notre ère ; dans le Seguiet el Hamra, aux abords de « la montagne de Mànân aux pierres éblouissantes qui touchait à l’Océan ; » dans le djebel tripolitain, où subsiste un idiome hébraïque mêlé d’araméen ; sur les bords du Sénégal enfin, où de nombreux individus parmi les tribus maures présentent encore « un type hébraïque fort accusé. Cette « longue et ancienne coutume » stupéfia tous les Européens qui en eurent connaissance au XVe siècle ; le Vénitien Câ da Mosto s’en fit répéter plusieurs fois les détails à Ouadan par des Arabes et des Berbères de l’Adrar mauritanien ; Antoine Malfant, qui écrivait de l’oasis du Touat, y fait allusion en parlant de « la fuite des nègres, comme devant un monstre, du plus loin qu’ils apercevaient un blanc
8, 1806-1813, suivis d'un Supplément, 9 vol., 1819-1837); il consacra trente ans à cette pénible tâche : aussi son ouvrage est-il le manuel indispensable de tout numismate. Le Rhône & toutes les rivières qui se jettent dans son sein ont des cours rapides, impétueux, précipités : tels sont ceux de la rivière d’Ain, de l’Isère, de la Drome, de la Durance, du Gardon, &c. Draps, cuirs, chapeaux. - Minsk a fait jadis partie de la principauté de Polotsk, puis de celle de Smolensk; cette ville était, dans l'anc. Cette île et la Petite Miquelon (au S. de la première) forment, avec l'île St-Pierre, une colonie soumise à un seul commandant. À cette époque, personne ne se doutait encore des travaux mystérieux du hangar ; le portail de la petite cour était condamné depuis plusieurs années, et l’on ne pouvait arriver à l’appentis que par le bûcher, sur les derrières, en longeant un couloir tortueux et sombre, formé de palissades, obstrué de débris et de vieilleries
Ils constatèrent des glandes cancéreuses aux intestins. Prendre un auteur dramatique de talent, lui donner une situation administrative qui occupe toutes ses heures et ne lui laisse plus le loisir de travailler, c’est ce qu’en France on appelle protéger les lettres, Hippolyte Romand est mort obscur, ayant rendu peu de services à l’établissement qu’il était condamné à diriger. La France s’empara de ses États en 1703 ; mais il les recouvra en 1736. Il avait épousé en 1695 une princesse de Brunswick, issue comme lui de la famille d’Este, et parce mariage il réunit les deux branches de cette maison, séparées depuis le XIe siècle. Merci pour cette article rafraîchissant à ambiance forestière. « Le fait pour un fournisseur d’accorder ou pour un acheteur de solliciter une remise, un rabais ou une ristourne en méconnaissance des dispositions du premier alinéa du présent article engage la responsabilité de son auteur et l’oblige à réparer le préjudice causé. Ce principe n’est peut-être pas aussi absolu qu’il le dit, lorsqu’il ajoute : « On est parvenu à faire germer des tubercules dans une atmosphère humide, à la lumière, mais sans qu’il se produise des tubercules nouveaux ; si au contraire on les conserve dans l’obscurité, il se produit alors des tubercules, sans même qu’il existe une tige verte et des feuilles
Le père et le fils, Abraham et Jaffuda, travaillaient à ce moment-là à de nouvelles mappemondes, dont l’une était destinée au roi de France Charles VI. Parmi les acquéreurs de ce genre d’ouvrages, figuraient deux Juifs, le père et le fils, qui allaient donner à la cartographie majorquine un éclat incomparable : Abraham et Jaffuda Cresques. Quoi qu’on puisse penser de cet empire, les Juifs pullulaient au Moyen âge dans les oasis : à Touggourt ; à Ouargla ; dans le Tafilelt ; dans le Touat, où de nouveaux venus lurent sur des pierres tombales qu’ils avaient été précédés par des coreligionnaires, l’an 4429 d’Adam, au VIIe siècle de notre ère ; dans le Seguiet el Hamra, aux abords de « la montagne de Mànân aux pierres éblouissantes qui touchait à l’Océan ; » dans le djebel tripolitain, où subsiste un idiome hébraïque mêlé d’araméen ; sur les bords du Sénégal enfin, où de nombreux individus parmi les tribus maures présentent encore « un type hébraïque fort accusé. Cette « longue et ancienne coutume » stupéfia tous les Européens qui en eurent connaissance au XVe siècle ; le Vénitien Câ da Mosto s’en fit répéter plusieurs fois les détails à Ouadan par des Arabes et des Berbères de l’Adrar mauritanien ; Antoine Malfant, qui écrivait de l’oasis du Touat, y fait allusion en parlant de « la fuite des nègres, comme devant un monstre, du plus loin qu’ils apercevaient un blanc
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