Évêché catholique, université (fondée en 1821), colléges français et anglais, séminaire catholique, école latine, deux académies classiques. La ville est assez belle, quoique d'un aspect sombre; vaste cathédrale catholique, église anglicane, couvent des Sœurs-Grises, collége, casernes, théâtre, hôpital général, séminaire St-Sulpice, maison de ville, nouvelle prison, colonne de Nelson; pont tubulaire sur le St-Laurent, appelé Pont Victoria; bateaux à vapeur pour Québec et les États-Unis; chemins de fer. Brûlée en 1852, la ville a été aussitôt rebâtie plus belle qu'auparavant. L'une des plus riches héritières de l'Europe, elle fut vingt fois sur le point de contracter les alliances les plus brillantes; mais aucune ne put réussir. Prise par les Anglais en 1760, puis par les Américains en 1775, elle fut remise peu après aux premiers. C’est là-haut ; il faut suivre encore un peu le chemin de la fontaine, ici derrière notre vigne ; et puis tourner à gauche. Le cavalier se place à la gauche de la dame, enlace sa taille avec l'avant-bras et soutient de sa main gauche la main droite de sa danseuse, qui appuie légèrement sa main gauche sur l'épaule de son danseur. Il y fut arrêté par ordre du Comité de salut public, et enfermé à Marseille, où il resta captif 43 mois; il ne fut élargi que quand son frère aîné eut consenti à partir pour l'Amérique; il alla l'y rejoindre en 1797. Il repassa en Angleterre en 1800, et mourut à Twickenham en 1807 d'une affection de poitrine
Le parquet à décidé de différer l’incarcération de ces individus: cela n’a rien à voir avec un réaménagement de leur peine (pouvoir du JAP) ! Après la rétention judiciaire, cela ne lui demande pas 3 à 4 semaines, dixit la Garde des Sceaux, pour saisir le JAP. La loi de 2009 concerne l’aménagement de la peine (oeuvre du JAP). Comment vous l’avez noté, les 3 condamnés n’ont pas bénéficié d’aménagement de leur peine de prison ferme (comme le rend possible cette fameuse loi de 2009). Leur dossier a donc été retransmis au parquet pour que leur peine de prison ferme soit mis à exécution. La CEDH et les autres me font penser à ces associations contre la criminalité routière dont la plupart des membres ne conduisent pas ou de manière épisodique, comment porter un jugement sur la salubrité d’une prison en considérant un détenu comme un citoyen ordinaire sans prendre en compte ses crimes ou délits uniquement sous le prétexte que c’est un être humain, à ce compte là transformons les prisons en "club med". "La CEDH et les autres me font penser à ces associations contre la criminalité routière dont la plupart des membres ne conduisent pas ou de manière épisodique,
R. VII, le Jeune, dernier comte de Toulouse, fils et successeur du préc., né à Beaucaire en 1197, fut excommunié deux fois pour les mêmes motifs que son père, n'en poursuivit pas moins la guerre, triompha de Simon de Montfort et de son fils Amaury, et contraignit ce dernier après la mort truffes de Bourgogne Raymond VI à traiter avec lui (1224). Mais, affaibli par une si longue lutte, il sentit le besoin de faire sa paix avec la cour de France et avec le St-Siége (1229). Il mourut à Milhaud en 1249, laissant ses domaines à Jeanne, sa fille unique, qui avait épousé en 1237 Alphonse, comte de Poitiers, frère de Louis IX. De là la terrible guerre des Albigeois, l'expulsion des anciens comtes, et l'élévation de Simon de Montfort au titre de comte de Toulouse (1212-1218). La mort de Simon rendit le comté à l'ancienne dynastie, mais celle-ci s'éteignit bientôt dans les mâles en la personne de Raymond VII (1249). Sa fille Jeanne, épouse d'Alphonse, frère de S. Louis, lui succéda, sans conserver toutefois les vastes arrière-fiefs du comté de Toulouse (ceux-ci par le traité de Paris, 1229, avaient été cédés à la couronne) ; enfin en 1271, après la mort d'Alphonse et de sa femme, qui ne laissaient pas d'enfants, le comté de Toulouse proprement dit fut aussi réuni au royaume de France
Ce n’est pourtant pas la même chose. J’en pense que "différer l’incarcération" n’est pas incompatible avec une (nouvelle) saisine pour aménagement. Mais là, ce n’est pas un probleme de prison mais de moyen pour la justice. A moins que vous interprétiez à l’article 707 alinéa 1er CPP " sauf circonstances insurmontables" comme intégrant la situation dans laquelle la prison serait pleine… C’est asser utopique puisqu’il faudrait construire au moins 500 000 cellules supplémentaires et pas du gout du contribuable. L'action au Zaïre, qui ne fait traditionnellement pas partie de la zone d'influence française, marque la politique africaine du septennat : en mai 1978, Valéry Giscard d'Estaing déclenche l'opération « Léopard » en envoyant des troupes parachutistes du 2e REP à Kolwezi pour libérer les quelque 3 000 Européens pris en otage par des rebelles au gouvernement zaïrois. Car c’est bien là le souci : c’est la politique et l’utilisation de la sécurité comme sujet politique qui rend des faits totalement ignorés
Le parquet à décidé de différer l’incarcération de ces individus: cela n’a rien à voir avec un réaménagement de leur peine (pouvoir du JAP) ! Après la rétention judiciaire, cela ne lui demande pas 3 à 4 semaines, dixit la Garde des Sceaux, pour saisir le JAP. La loi de 2009 concerne l’aménagement de la peine (oeuvre du JAP). Comment vous l’avez noté, les 3 condamnés n’ont pas bénéficié d’aménagement de leur peine de prison ferme (comme le rend possible cette fameuse loi de 2009). Leur dossier a donc été retransmis au parquet pour que leur peine de prison ferme soit mis à exécution. La CEDH et les autres me font penser à ces associations contre la criminalité routière dont la plupart des membres ne conduisent pas ou de manière épisodique, comment porter un jugement sur la salubrité d’une prison en considérant un détenu comme un citoyen ordinaire sans prendre en compte ses crimes ou délits uniquement sous le prétexte que c’est un être humain, à ce compte là transformons les prisons en "club med". "La CEDH et les autres me font penser à ces associations contre la criminalité routière dont la plupart des membres ne conduisent pas ou de manière épisodique,
R. VII, le Jeune, dernier comte de Toulouse, fils et successeur du préc., né à Beaucaire en 1197, fut excommunié deux fois pour les mêmes motifs que son père, n'en poursuivit pas moins la guerre, triompha de Simon de Montfort et de son fils Amaury, et contraignit ce dernier après la mort truffes de Bourgogne Raymond VI à traiter avec lui (1224). Mais, affaibli par une si longue lutte, il sentit le besoin de faire sa paix avec la cour de France et avec le St-Siége (1229). Il mourut à Milhaud en 1249, laissant ses domaines à Jeanne, sa fille unique, qui avait épousé en 1237 Alphonse, comte de Poitiers, frère de Louis IX. De là la terrible guerre des Albigeois, l'expulsion des anciens comtes, et l'élévation de Simon de Montfort au titre de comte de Toulouse (1212-1218). La mort de Simon rendit le comté à l'ancienne dynastie, mais celle-ci s'éteignit bientôt dans les mâles en la personne de Raymond VII (1249). Sa fille Jeanne, épouse d'Alphonse, frère de S. Louis, lui succéda, sans conserver toutefois les vastes arrière-fiefs du comté de Toulouse (ceux-ci par le traité de Paris, 1229, avaient été cédés à la couronne) ; enfin en 1271, après la mort d'Alphonse et de sa femme, qui ne laissaient pas d'enfants, le comté de Toulouse proprement dit fut aussi réuni au royaume de France
Ce n’est pourtant pas la même chose. J’en pense que "différer l’incarcération" n’est pas incompatible avec une (nouvelle) saisine pour aménagement. Mais là, ce n’est pas un probleme de prison mais de moyen pour la justice. A moins que vous interprétiez à l’article 707 alinéa 1er CPP " sauf circonstances insurmontables" comme intégrant la situation dans laquelle la prison serait pleine… C’est asser utopique puisqu’il faudrait construire au moins 500 000 cellules supplémentaires et pas du gout du contribuable. L'action au Zaïre, qui ne fait traditionnellement pas partie de la zone d'influence française, marque la politique africaine du septennat : en mai 1978, Valéry Giscard d'Estaing déclenche l'opération « Léopard » en envoyant des troupes parachutistes du 2e REP à Kolwezi pour libérer les quelque 3 000 Européens pris en otage par des rebelles au gouvernement zaïrois. Car c’est bien là le souci : c’est la politique et l’utilisation de la sécurité comme sujet politique qui rend des faits totalement ignorés
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