Sire, reprit le Neuchatelois, le fion c’est la bonne grâce… Fignoler : Exécuter avec fion. Le fion peut s’imprimer dans une page de métaphysique, comme dans un madrigal à Glycère. » - Vidocq. - « Être filé signifie, dans le langage des débiteurs, que le recors vous suit à la piste. Fête :(Être de la) : Être riche, avoir les moyens de festoyer. Feux de file (Ne pas s’embêter dans les) : Être indépendant. Je crois que le vieux Sus ne durera pas longtemps non plus. Reichel est de plus un homme superbe, il représente à merveille les personnages tels que Zarastro, Moïse et Bertram. Dame, le siècle est positif, et l’on trouve si difficilement à tailler un homme utile dans la peau d’un vieux lion. On lui crie, mais de quelle langue du XVIIe siècle parlez-vous ? Dresser en timbale les œufs coupés en quartiers et les couvrir avec la purée. Garnir l’un des côtés d’une cuillerée de purée Soubise serrée ; lisser cette purée en dôme ; napper la côte de sauce Mornay et glacer vivement. Saucer les filets, additionnés des queues de 20 belles écrevisses cuites comme pour bisque, avec un demi-litre de sauce Béchamel
Mais voilà: de délicieuses truffes ont été trouvées au Québec! Dégustation d’omelettes aux truffes. Soyez originaux et oubliez pommes de terre et pâtes : une salade de fève ou de lentilles aux citrons confits et sauce soja, sans oublier le panier de crudités et soupes froides. Nous voici tous les deux absents de notre terre natale depuis cinq ans, et la moitié de ce temps sans en avoir reçu de nouvelles. Comme nous devions nous y attendre, notre dîner n’était pas trop recherché, l’heure ordinaire étant d’ailleurs devancée, quoique j’entendisse ma grand’mère commander une ou deux friandises, à la grande surprise de Patt. Tous deux donnent au tenancier un intérêt permanent, étant contractés pour toujours, moyennant une rente annuelle, avec réserve du droit de saisie et de la rentrée en possession, en cas de non-paiement. Après avoir parcouru les Îles Britanniques, dont les antiquités me parurent insignifiantes et sans intérêt après avoir vu toutes celles qui étaient de beaucoup, plus antiques, nous revînmes à Paris, afin de faire de moi tout à fait un homme du monde, et de donner tout son éclat au diamant américain
Il faut être prompt à leur ôter les truffes qu’ils découvrent, & leur donner quelque chose à la place pour les récompenser, sans quoi ils se rebuteroient, & laisseroient-là une chasse qui leur seroit infructueuse. Le principal habitat de la truffe la plus recherchée du marché aux truffes se trouve dans la célebre forêt de Motovun (Motovunska šuma), en bordure de la riviere de Mirna, au pied des murailles de la somptueuse ville qui porte le même nom. On voit encore de vieux murs portant le nom de mogher greghi. Il n’y a que deux personnages qui sont absolument de trop et qui alourdissent même l’action : c’est Théophile, au nom duquel nous parle l’auteur, et son amie archivertueuse, la grisette à l’eau de rose, Eugénie. C’est pour cela que tous les préliminaires avant l’installation de Marthe dans l’appartement d’Horace, et sa rentrée sous le toit d’Eugénie, après une nuit pertinemment passée chez lui, ainsi que tous les débats entre Eugénie, Théophile, Marthe et Horace sur l’opportunité ou la non-opportunité pour Marthe de devenir la maîtresse d’Horace nous paraissent déplaisants, indécents même. Il est très curieux de noter que Balzac et Heine s’expriment sur le compte de Mme d’Agoult en des termes qu’on dirait copiés tantôt sur le Journal de Piffoël et tantôt sur le texte d’Horace
Il nous semble que ces deux passages de Heine - sur la bonté de George Sand et celui sur la dangereuse comtesse - sont une vraie contre-partie des deux passages du Journal de Piffoël : 1° Je ne l’ai jamais craint (Heine) et 2° Vraiment j’ai bien plus peur de… Le canut est donc celui qui use de la canne (dont a été faite la canette). Il a été précepteur chez un riche seigneur napolitain et je le soupçonne d’en être sorti avant d’avoir mené ses élèves en quatrième pour avoir fait la cour à leur mère ! Mais en voilà assez sur ce sujet ; nous aurons chez nous à nous en occuper plus que nous ne voudrions. Il nous semble très naturel aussi que Mme Sand ait situé le lieu et l’action de son roman justement à l’époque et dans le milieu où vécurent les jeunes auteurs de Rose et Blanche : modestes mansardes sur un quai du Quartier latin, d’où se découvrait une vue magnifique sur les tours Saint-Jacques et Notre-Dame ; petit groupe d’écrivains en herbe et d’étudiants en médecine et en droit, - comme Emile Regnault et Jules Sandeau lui-même, - et enfin les années brûlantes de 1830-31-32. Tout cela donne à Horace une empreinte de vie réelle et vraiment « vécue » ; ce roman, comme les mémoires ou autres documents authentiques, n’a pas vieilli, il semble écrit d’hier et se distingue, par son ton simple et réaliste, par son dialogue vrai, par l’absence de toute rhétorique romantique, autant des romans précédents que de la plupart des œuvres ultérieures de Mme Sand
Mais voilà: de délicieuses truffes ont été trouvées au Québec! Dégustation d’omelettes aux truffes. Soyez originaux et oubliez pommes de terre et pâtes : une salade de fève ou de lentilles aux citrons confits et sauce soja, sans oublier le panier de crudités et soupes froides. Nous voici tous les deux absents de notre terre natale depuis cinq ans, et la moitié de ce temps sans en avoir reçu de nouvelles. Comme nous devions nous y attendre, notre dîner n’était pas trop recherché, l’heure ordinaire étant d’ailleurs devancée, quoique j’entendisse ma grand’mère commander une ou deux friandises, à la grande surprise de Patt. Tous deux donnent au tenancier un intérêt permanent, étant contractés pour toujours, moyennant une rente annuelle, avec réserve du droit de saisie et de la rentrée en possession, en cas de non-paiement. Après avoir parcouru les Îles Britanniques, dont les antiquités me parurent insignifiantes et sans intérêt après avoir vu toutes celles qui étaient de beaucoup, plus antiques, nous revînmes à Paris, afin de faire de moi tout à fait un homme du monde, et de donner tout son éclat au diamant américain
Il faut être prompt à leur ôter les truffes qu’ils découvrent, & leur donner quelque chose à la place pour les récompenser, sans quoi ils se rebuteroient, & laisseroient-là une chasse qui leur seroit infructueuse. Le principal habitat de la truffe la plus recherchée du marché aux truffes se trouve dans la célebre forêt de Motovun (Motovunska šuma), en bordure de la riviere de Mirna, au pied des murailles de la somptueuse ville qui porte le même nom. On voit encore de vieux murs portant le nom de mogher greghi. Il n’y a que deux personnages qui sont absolument de trop et qui alourdissent même l’action : c’est Théophile, au nom duquel nous parle l’auteur, et son amie archivertueuse, la grisette à l’eau de rose, Eugénie. C’est pour cela que tous les préliminaires avant l’installation de Marthe dans l’appartement d’Horace, et sa rentrée sous le toit d’Eugénie, après une nuit pertinemment passée chez lui, ainsi que tous les débats entre Eugénie, Théophile, Marthe et Horace sur l’opportunité ou la non-opportunité pour Marthe de devenir la maîtresse d’Horace nous paraissent déplaisants, indécents même. Il est très curieux de noter que Balzac et Heine s’expriment sur le compte de Mme d’Agoult en des termes qu’on dirait copiés tantôt sur le Journal de Piffoël et tantôt sur le texte d’Horace
Il nous semble que ces deux passages de Heine - sur la bonté de George Sand et celui sur la dangereuse comtesse - sont une vraie contre-partie des deux passages du Journal de Piffoël : 1° Je ne l’ai jamais craint (Heine) et 2° Vraiment j’ai bien plus peur de… Le canut est donc celui qui use de la canne (dont a été faite la canette). Il a été précepteur chez un riche seigneur napolitain et je le soupçonne d’en être sorti avant d’avoir mené ses élèves en quatrième pour avoir fait la cour à leur mère ! Mais en voilà assez sur ce sujet ; nous aurons chez nous à nous en occuper plus que nous ne voudrions. Il nous semble très naturel aussi que Mme Sand ait situé le lieu et l’action de son roman justement à l’époque et dans le milieu où vécurent les jeunes auteurs de Rose et Blanche : modestes mansardes sur un quai du Quartier latin, d’où se découvrait une vue magnifique sur les tours Saint-Jacques et Notre-Dame ; petit groupe d’écrivains en herbe et d’étudiants en médecine et en droit, - comme Emile Regnault et Jules Sandeau lui-même, - et enfin les années brûlantes de 1830-31-32. Tout cela donne à Horace une empreinte de vie réelle et vraiment « vécue » ; ce roman, comme les mémoires ou autres documents authentiques, n’a pas vieilli, il semble écrit d’hier et se distingue, par son ton simple et réaliste, par son dialogue vrai, par l’absence de toute rhétorique romantique, autant des romans précédents que de la plupart des œuvres ultérieures de Mme Sand
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